L’entreprise Mathis se différencie, depuis une dizaine d’années, par son expertise sur des projets d’envergure ou de forte technicité et par la mise en œuvre de modes constructifs éco-responsables qui ont permis de généraliser la construction bois. À l’heure où les circuits courts s’imposent pour faire face à l’urgence climatique, Mathis, au travers de sa labellisation Bois de France, augmente la part du bois français dans la structure des bâtiments et ouvrages.
Un approvisionnement local et responsable et un bilan carbone optimisé
Cette labellisation permet à Mathis de garantir Bois de France (origine et lieu de transformation) l’ensemble de la structure des bâtiments qu’il construit et d’offrir à ses produits à usage structurel en bois lamellé-collé, CLT, Ossature Bois et bois massif abouté un bilan carbone optimisé, grâce à un circuit court de production.
Si l’enjeu pour l’entreprise est de faire de l’utilisation du bois français un avantage compétitif, cette démarche de traçabilité est aussi l’assurance d’inscrire ses achats bois dans un cadre éthique, créateur de valeur locale sur le plan économique, social et environnemental. Il s’agit ainsi pour Mathis de massifier son approvisionnement local et de participer à la mise en valeur et au renouvellement des massifs forestiers de France.
Rappelons que le système qualité de Mathis, validé par l’Institut technologique FCBA via les marques ACERBOIS pour le bois lamellé-collé et CTB pour les autres produits (ossature bois, CLT et CLT nervurés), a permis d’assurer la traçabilité des bois et de prouver que les éléments structurels livrés sont bien constitués de bois français.
Tous ses matériaux bois sont par ailleurs certifiés PEFC (gestion durable des forêts), une certification complémentaire à la certification Bois de France.
Une démarche déjà illustrée notamment par deux chantiers avec des structures certifiées Bois de France
La part du bois français dans la production et les achats de Mathis a déjà presque doublé lors de la dernière année. Cette tendance de fond se confirme, bien sûr, avec les chantiers des Jeux de Paris. Deux chantiers réalisés par Mathis ont d’ores et déjà une structure certifiée Bois de France :
Le siège de l’Office National des Forêts (ONF) à Maisons-Alfort (94) et la gare du Kremlin-Bicêtre (94) pour le prolongement de la ligne 14 du métro.
Les structures d’autres chantiers en cours de réalisation seront également certifiées Bois de France : le centre aquatique à la Courneuve (93), la piscine découvrable Georges Vallerey à Paris (15e) et le pavillon des champagnes Ruinart à Reims (51).