Ce 23 janvier, le premier ministre Edouard Philippe s’est rendu sur l’un des chantiers emblématiques du Grand Paris Express, à Champigny-sur-Marne, pour mesurer l’ampleur des défis techniques et humains que doit relever le nouveau métro.
Après s’être rendu dans le puits d’entrée du tunnelier, le premier ministre a pénétré dans le hangar où est entreposée la roue de coupe, qui descendra au fond du puits le 3 février prochain. Saluant ingénieurs et compagnons présents sur le chantier, il a tenu à exprimer sa détermination à mener « le projet à son terme, dans de bonnes conditions techniques et dans de bonnes conditions de sécurité« .
Concertations engagées
En compagnie de la ministre des Transports, Elisabeth Borne, de nombreux élus et du directoire de la Société du Grand Paris, Edouard Philippe a rappelé que le nouveau métro devait contribuer à « déverrouiller le blocage des transports en commun » en Île-de-France et à « désenclaver certaines communes » du Grand Paris. Une mission qui suppose une phase de concertation que le chef du gouvernement engage pour ajuster le calendrier à la réalité technique et budgétaire du projet.
Pour plus d’informations : www.societedugrandparis.fr